Publié le 03/12/2024 à 16:34 par ctrlaltdel
Tags : sur place
Le design automobile a progressivement évolué vers des formes plus homogènes. Les décennies des années 1950 et 1960 ont marqué une époque de créativité esthétique. Peu à peu, cette originalité a cédé la place à des choix plus standardisés, influencés par des contraintes économiques, des avancées technologiques et des régulations de plus en plus strictes.
Les premières voitures du XXe siècle reflétaient des identités visuelles très marquées. Chaque constructeur proposait des designs uniques. Après la Seconde Guerre mondiale, les lignes fluides et les détails chromés dominaient, surtout en Amérique du Nord. Les crises énergétiques des années 1970 ont bouleversé ces priorités. Les fabricants ont commencé à privilégier des véhicules plus compacts et pratiques, limitant les éléments purement décoratifs.
Avec l'essor de la production de masse, les plateformes partagées sont devenues courantes. Cette stratégie a permis aux constructeurs de réduire les coûts en utilisant les mêmes bases pour différents modèles. Cependant, cette rationalisation a entraîné une diminution de la diversité stylistique. Les designs neutres, capables de séduire un public large, se sont imposés comme la norme.
Les régulations en matière de sécurité et d'environnement ont également joué un rôle clé. Les tests de collision ont exigé des structures renforcées, limitant les variations dans les formes. De plus, les normes aérodynamiques, nécessaires pour réduire les émissions, ont conduit à des silhouettes épurées et similaires entre les marques.
Dans les années 2000, les outils numériques ont révolutionné la conception automobile. Ces technologies ont permis une optimisation rapide des designs, mais elles ont aussi favorisé l'uniformité. Les constructeurs ont mis l'accent sur l'efficacité de production et les attentes des consommateurs, souvent tournées vers des modèles pratiques plutôt qu'extravagants.
La mondialisation a également contribué à cette standardisation. Les marques doivent désormais répondre aux attentes d’un public international. Les préférences régionales ont été atténuées pour adopter des designs globaux, visant à plaire à des consommateurs issus de cultures différentes.
Les véhicules électriques ont accentué cette tendance. Leurs contraintes techniques, notamment l’intégration des batteries sous le plancher, imposent des proportions similaires. L’aérodynamisme, crucial pour optimiser l’autonomie, réduit encore davantage les possibilités de variation.
Les acheteurs influencent également cette évolution. Dans un contexte économique souvent incertain, les consommateurs privilégient la fiabilité, les coûts réduits et les performances. Le design extérieur, bien qu’apprécié, passe souvent au second plan dans leurs critères de choix.
Les constructeurs adoptent par ailleurs des stratégies prudentes pour éviter les controverses. Dans un environnement où les réseaux sociaux amplifient rapidement les critiques, un design trop audacieux peut nuire à l’image de marque. Cette approche renforce le recours à des formes discrètes et consensuelles.
Certains segments comme les modèles de luxe ou sportifs conservent encore une certaine originalité. Cependant, même ces catégories tendent vers des designs plus homogènes, en raison des mêmes contraintes globales et réglementaires.
Les avancées technologiques, comme les systèmes d’éclairage LED, offrent des opportunités de différenciation. Ces innovations se concentrent toutefois principalement sur les signatures lumineuses, sans modifier profondément les lignes des carrosseries.
Ainsi, l’évolution du design automobile reflète des choix dictés par des impératifs pratiques. Les normes techniques, Lamborghini les exigences de coût et la globalisation ont conduit à des formes plus uniformes. Si cette approche répond aux besoins industriels actuels, elle limite les possibilités de créativité marquante.
Mayotte, département français situé dans l'archipel des Comores dans l'océan Indien, est confronté à une épidémie de choléra, une maladie diarrhéique aiguë causée par l'ingestion d'eau ou de nourriture contaminée par la bactérie Vibrio cholerae. Cette crise sanitaire met en lumière les défis socio-économiques et infrastructurels de l'île, exacerbant une situation déjà précaire. L'épidémie de choléra à Mayotte nécessite une réponse urgente et coordonnée pour contenir la propagation de la maladie et prévenir de futures épidémies.
Le choléra est une maladie qui peut provoquer une déshydratation rapide et sévère, entraînant la mort si elle n'est pas traitée rapidement. Les symptômes incluent des diarrhées aqueuses abondantes, des vomissements et des crampes abdominales. La transmission du choléra est étroitement liée à l'accès insuffisant à l'eau potable et à des installations sanitaires inadéquates, des conditions qui sont malheureusement présentes à Mayotte.
Mayotte fait face à des problèmes structurels majeurs. L'accès à l'eau potable est limité, et de nombreuses communautés dépendent de sources d'eau non sécurisées. Les infrastructures sanitaires sont insuffisantes, avec un accès limité à des toilettes et des systèmes de traitement des eaux usées. Ces conditions créent un terrain fertile pour la propagation du choléra, surtout pendant la saison des pluies lorsque les eaux contaminées se mélangent plus facilement aux sources d'eau potable.
L'épidémie actuelle de choléra à Mayotte est également aggravée par des facteurs socio-économiques. Mayotte est l'un des départements les plus pauvres de France, avec un taux de chômage élevé et une grande partie de la population vivant dans des conditions de précarité. L'urbanisation rapide et souvent non planifiée a conduit à des établissements informels où les conditions de vie sont particulièrement mauvaises. Ces zones, dépourvues de services de base adéquats, sont particulièrement vulnérables à la propagation rapide du choléra.
La gestion de l'épidémie de choléra à Mayotte nécessite une réponse multidimensionnelle. Premièrement, il est crucial de mettre en place des mesures d'urgence pour contenir la propagation de la maladie. Cela inclut la distribution de solutions de réhydratation orale, l'administration d'antibiotiques aux cas sévères, et la mise en place de centres de traitement du choléra. Les équipes médicales doivent être renforcées et formées pour gérer efficacement les cas de choléra, et des efforts doivent être faits pour sensibiliser la population aux signes et symptômes de la maladie et à l'importance de rechercher un traitement rapide.
Deuxièmement, il est impératif d'améliorer les infrastructures d'eau et d'assainissement à long terme. Cela nécessite des investissements importants pour garantir un accès universel à l'eau potable et à des installations sanitaires adéquates. La construction de systèmes de traitement des eaux usées et l'amélioration des pratiques de gestion des déchets sont des mesures essentielles pour prévenir la contamination de l'eau. Ces améliorations doivent être accompagnées d'une éducation communautaire sur les pratiques d'hygiène, comme le lavage des mains et la manipulation sécurisée des aliments.
L'engagement de la communauté est un autre élément clé pour lutter contre l'épidémie de choléra. Les leaders communautaires et les organisations locales doivent être impliqués dans la planification et la mise en œuvre des interventions. La participation communautaire garantit que les stratégies de prévention et de contrôle sont adaptées aux besoins et aux réalités locales, ce qui augmente leur efficacité et leur durabilité.
La réponse à l'épidémie de choléra à Mayotte doit également inclure des mesures de surveillance et de contrôle épidémiologiques robustes. La collecte et l'analyse des données sur les cas de choléra sont cruciales pour comprendre la dynamique de l'épidémie et pour guider les interventions. La mise en place de systèmes de surveillance active peut aider à détecter rapidement les foyers d'infection et à déployer des ressources là où elles sont le plus nécessaires.
En parallèle, la coopération internationale joue un rôle essentiel. Mayotte, bien que territoire français, est située dans une région où les mouvements de population entre les îles voisines sont fréquents. La collaboration avec les pays voisins et les organisations internationales peut aider à coordonner les efforts de contrôle du choléra dans l'ensemble de la région. Le partage des informations, des ressources et des meilleures pratiques est crucial pour une réponse efficace et concertée à l'épidémie.
L'éducation et la sensibilisation sont également des éléments essentiels de la réponse à l'épidémie. Les campagnes de sensibilisation doivent viser à informer la population sur les modes de transmission du choléra et les mesures de prévention. L'utilisation des médias locaux, des réseaux sociaux et des canaux de communication communautaires peut aider à diffuser ces informations de manière efficace et à toucher un large public.
En conclusion, l'épidémie de choléra à Mayotte est un rappel brutal des défis auxquels cette île est confrontée en termes d'infrastructures, de conditions sanitaires et de pauvreté. La réponse à cette crise nécessite une approche intégrée qui combine des mesures d'urgence immédiates avec des interventions à long terme pour améliorer les infrastructures d'eau et d'assainissement, renforcer les systèmes de santé et engager la communauté. La coopération internationale et l'éducation sont également essentielles pour contenir l'épidémie et prévenir de futures flambées. Mayotte doit saisir cette opportunité pour renforcer ses systèmes et infrastructures, non seulement pour faire face à la crise actuelle, mais aussi pour améliorer la santé et le bien-être de sa population à long terme.
Les hôtels de luxe sont depuis longtemps synonymes d'exclusivité et d'hospitalité raffinée. Plus qu'un simple lieu de séjour, ils offrent une passerelle vers des expériences remarquables. Cet essai se penche sur la variété des hôtels de luxe à travers le monde, révélant comment chaque établissement offre des moyens uniques de rendre les vacances vraiment remarquables, que ce soit par le lieu, l'architecture, l'histoire ou les services personnalisés qu'ils proposent.
L'un des attributs les plus importants qui distinguent les hôtels de luxe est leur emplacement. Qu'il s'agisse des plages immaculées des Maldives ou des rues animées de New York, les hôtels de luxe sont créés pour tirer parti de leur environnement. Regis Maldives Vommuli Resort proposent non seulement des bungalows sur l'eau avec des sols transparents, mais aussi des piscines exclusives et un accès direct à l'océan, ce qui permet aux visiteurs de profiter de la sérénité de la mer en toute solitude. En revanche, les hôtels de luxe métropolitains tels que The Ritz-Carlton, Tokyo, sont situés dans des gratte-ciel imposants offrant une vue panoramique sur la région, et proposent un autre type de luxe, avec des solutions de spa surplombant le paysage urbain et une cuisine raffinée reflétant la substance de l'environnement métropolitain.
Les hôtels de luxe reflètent généralement l'importance sociale ou l'innovation architecturale. L'Emirates Palace d'Abu Dhabi, par exemple, témoigne des traditions arabes, avec son architecture islamique traditionnelle remarquable, tandis que l'Hôtel de Glace au Québec, entièrement fait de glace, offre une expérience unique avec une structure annuelle éphémère qui est reconstruite tous les mois d'hiver. Ces établissements offrent bien plus qu'un hébergement somptueux, ils proposent un art culturel et un passé historique. Les hôtels historiques comme l'hôtel Raffles à Singapour, qui a ouvert ses portes en 1887, permettent aux clients de remonter dans le temps et de découvrir un riche passé colonial, conservé et doté du luxe d'aujourd'hui.
Les établissements de luxe sont réputés pour leurs services personnalisés et l'attention qu'ils portent à la profondeur. De nombreuses entreprises s'attachent aujourd'hui à créer des expériences sur mesure pour leurs clients. Par exemple, les lodges de safari en Afrique, comme le Singita Serengeti House en Tanzanie, offrent non seulement des chambres luxueuses, mais aussi des excursions privées, des repas gastronomiques préparés par des chefs personnels et des visites guidées d'animaux. Ces hôtels mettent l'accent sur l'esprit d'excitation tout en maintenant des normes de confort élevées, fusionnant le frisson de l'aventure avec le chouchoutage du luxe.
En réponse aux préoccupations environnementales croissantes, de nombreux hôtels haut de gamme adoptent la durabilité sans compromettre leurs exigences en matière de confort. Des établissements comme Soneva Fushi, aux Maldives, ont été les pionniers de l'écoluxe, en utilisant des matériaux durables pour le développement et en travaillant avec de l'énergie solaire hors réseau. Ces hôtels proposent des repas biologiques, des environnements sans plastique et des programmes de conservation, ce qui permet aux visiteurs de profiter du luxe de manière responsable.
Les percées technologiques ont également contribué à modifier l'expérience des hôtels de luxe. Les hôtels de haute technologie tels que le Peninsula Tokyo proposent des techniques d'automatisation de l'espace où les visiteurs peuvent contrôler l'éclairage, le chauffage et les systèmes de divertissement à l'aide de tablettes disponibles dans chaque chambre. Cette intégration de la technologie améliore l'expérience pratique des clients en leur apportant commodité et modification du bout des doigts.
L'accent mis sur le bien-être est une autre caractéristique des hôtels de luxe modernes, beaucoup d'entre eux proposant des programmes complets de spa, de santé, de remise en forme et de bien-être. Des établissements comme The Waldorf Astoria Maldives Ithaafushi proposent des retraites de bien-être sur mesure comprenant des cours de yoga, des traitements de spa et des aliments équilibrés sur le plan nutritionnel, conçus pour rajeunir le corps et l'esprit.
Enfin, les hôtels de luxe sont souvent des destinations de choix sur le plan culinaire. Ils abritent souvent des restaurants étoilés au guide Michelin, qui proposent des menus élaborés par des chefs de renommée mondiale. Par exemple, le 4 Seasons Resort George V, à Paris, abrite de nombreux restaurants étoilés, dont Le Cinq, qui propose une superbe expérience culinaire s'inspirant des traditions culinaires françaises, ainsi qu'une cave à vin rouge de classe mondiale.
La diversité des centres de villégiature de luxe à travers le monde offre une pléthore de choix aux voyageurs à la recherche d'activités exceptionnelles. Qu'il s'agisse d'emplacements étonnants, de récits historiques riches, de solutions personnalisées, de méthodes durables, d'innovations technologiques, de centres de bien-être ou de choix culinaires extraordinaires, les établissements de luxe demeurent la quintessence de l'opulence du voyage, promettant des vacances mémorables personnalisées en fonction des désirs de leurs hôtes critiques. Chaque établissement offre un accès unique aux luxes du monde, week-end à Hossegor conçu dans le but de surpasser les attentes de ceux qui recherchent les meilleures expériences de voyage.
Publié le 08/03/2024 à 07:40 par ctrlaltdel
Depuis 2015, Nord Stream 2 est au centre de toutes les discussions européennes concernant les relations UE-Russie. Mais alors que des discussions politiques sans fin en Europe se déroulent sur ce projet de pipeline, les tuyaux d'un autre projet de pipeline russe similaire - Turk Stream - sont déjà posés par Gazprom au fond de la mer Noire. Cette pièce examine ces développements et analyse leurs impacts stratégiques sur l'Europe.
Pour l'Europe, penser à la sécurité énergétique, c'est penser à la Russie. D'abord en janvier 2006, puis en janvier 2009, le différend sur les prix du gaz entre la Russie et l'Ukraine a entraîné l'arrêt des approvisionnements russes de gaz vers l'Europe via l'Ukraine - sa principale route de transit. Cela a généré des dommages économiques pour l'Europe, notamment dans les pays d'Europe du Sud-Est fortement dépendants du gaz russe pour la production d'électricité et le chauffage résidentiel.
L'Europe a réagi à ces crises gazières en adoptant une stratégie de sécurité énergétique principalement axée sur la réduction de sa dépendance à l'égard de l'approvisionnement en gaz russe. La priorité élevée accordée aux approvisionnements russes en gaz s'explique par: (1) le gaz représente environ un quart du mix énergétique européen; (2) environ un tiers de ce gaz est importé de Russie; et (3) contrairement au pétrole ou au charbon, il n'est pas possible d'amener de grandes quantités de gaz là où il est nécessaire si l'infrastructure correspondante n'est pas en place.
Au milieu de la crise ukrainienne de 2014, les craintes d'une éventuelle interruption politique de tous les approvisionnements européens en gaz en provenance de Russie ont remis les problèmes énergétiques au premier rang des préoccupations européennes et ont conduit à la création de l'Union européenne de l'énergie.
Alors que l'Europe a développé sa stratégie de sécurité énergétique, la Russie a également développé sa propre stratégie, visant principalement à maintenir sa part du marché européen du gaz à l'avenir. Pour ce faire, la Russie entend principalement sécuriser ses approvisionnements en détournant tout son transit de gaz vers l'Europe loin de l'Ukraine d'ici 2020.
En vue d'atteindre cet objectif, Gazprom a signé en 2015 un accord avec les grandes sociétés européennes de l'énergie pour construire Nord Stream 2, un pipeline visant à détourner de l'Ukraine 55 milliards de mètres cubes par an (Bcm / an) de transit de gaz, en élargissant la liaison directe existante - Nord Stream 1 - entre la Russie et l'Allemagne.
Depuis 2015, Nord Stream 2 est au centre de toutes les discussions européennes concernant les relations UE-Russie en général, et la sécurité énergétique européenne en particulier. Mais alors que des discussions politiques sans fin en Europe se déroulent sur ce projet de pipeline, les tuyaux d'un autre projet de pipeline russe similaire - Turk Stream - sont déjà posés par Gazprom au fond de la mer Noire.
Lancé par le président russe Vladimir Poutine en décembre 2014 lors d'une visite d'État en Turquie, Turk Stream est un pipeline qui devrait fournir 31,5 Gm3 / an de gaz à la Turquie et à l'Europe. Comme dans le cas de Nord Stream 2, ce projet ne vise pas non plus à transporter des volumes supplémentaires de gaz, mais simplement à remplacer partiellement les flux qui atteignent actuellement la Turquie et l'Europe via l'Ukraine.
Turk Stream comprend deux lignes, chacune d'une capacité de 15,75 Gm3 / an. La ligne 1 est conçue uniquement pour approvisionner la Turquie, tandis que la ligne 2 est destinée à fournir du gaz à l'Europe.
Après un an de travaux, la construction de la partie offshore de la ligne 1 s'est achevée le 30 avril 2018; les parties onshore restent en travaux. La construction de la ligne 2 progressant également, les deux lignes de Turk Stream devraient être finalisées d'ici la fin de 2019.
Cependant, en raison des règles anti-monopole de l'UE, Gazprom, en tant que fournisseur, est interdit d'exploiter des gazoducs à l'intérieur de l'UE. La société russe explore donc actuellement des options alternatives potentielles avec les gestionnaires de réseau de gaz européens pour amener la capacité de 15,75 Gm3 / an de la ligne 2 de Turk Stream sur les marchés européens.
La première option serait de relier la Turquie et l'Autriche à un pipeline passant par la Bulgarie, la Serbie et la Hongrie. Ce pipeline a été surnommé «South Stream Lite», car il suivrait à peu près le chemin du pipeline South Stream proposé, qui a été abandonné par la Russie en 2014 suite à l'opposition de la Commission européenne.
Ce n'est pas par hasard que des éléments du projet South Stream original ont récemment été relancés par la Bulgarie et la Serbie. Le gestionnaire du réseau gazier bulgare Bulgartransgaz a récemment acquis une série d'actifs dans le but de créer une plaque tournante de commerce et de transport de gaz dans les Balkans. Bulgartransgaz et la Serbie Gastrans ont également commencé à explorer l'intérêt des sociétés gazières à utiliser des pipelines potentiels reliant la Bulgarie à la Hongrie. Depuis la Hongrie, des canalisations pourraient être acheminées vers l'Autriche via des itinéraires prévus ou existants.
La deuxième option consisterait à relier la Turquie et l'Italie à un pipeline traversant la Grèce. L'étude de faisabilité d'un tel gazoduc a été réalisée en 2003 par la société publique grecque de distribution de gaz DEPA et la société énergétique italienne Edison. Le développement du projet - nommé Poséidon - a ensuite été couvert par un accord intergouvernemental signé en 2005 entre la Grèce et l'Italie.
Lorsque, en 2013, le groupe de sociétés exploitant le champ gazier azerbaïdjanais Shah Deniz II - qui constitue la principale source du corridor gazier sud - a choisi le gazoduc trans-adriatique (TAP) pour relier le gazoduc transanatolien (TANAP) à l'Italie, le projet Poséidon a été éclipsé. Il n'a été relancé que récemment, sur la base des opportunités potentielles de relier Turk Stream à l'Italie, ainsi que d'un éventuel pipeline allant d'Israël à la Grèce - le pipeline de la Méditerranée orientale - vers l'Italie.
La troisième option consisterait à utiliser la capacité disponible du TAP. Le gazoduc de 800 km de long - actuellement en construction - servira à livrer 10 Gm3 / an de gaz azéri en Italie, à partir de 2020. Cependant, la capacité du TAP peut être étendue à 20 Gm3 / an avec l'ajout de nouvelles stations de compression. Le gazoduc a également une fonction physique de flux inversé, permettant au gaz d'Italie d'être détourné vers l'Europe du Sud-Est si les approvisionnements énergétiques sont interrompus ou si une plus grande capacité de gazoduc est nécessaire pour acheminer du gaz supplémentaire dans la région.
Cette flexibilité pourrait faire du TAP une option très intéressante pour Turk Stream. Cependant, étant donné que la ligne 2 de Turk Stream n'est pas destinée à fournir un approvisionnement supplémentaire à l'Europe, mais simplement à détourner une partie de l'offre existante qui entre actuellement en Europe via l'Ukraine, les contrats existants entre Gazprom et des partenaires européens - tels que l'Italie - devraient également être pris en compte.
À cet égard, South Stream Lite pourrait offrir l'option la plus viable pour Gazprom, car elle n'exigerait pas la modification des contrats existants avec des partenaires européens, sur lesquels le point de livraison des fournitures contractuelles est fixé au Baumgarten en Autriche. Gazprom annoncera certainement une décision sur la route préférée très bientôt, car elle cible les premiers flux de gaz vers l'Europe via Turk Stream dès le début de 2020.
La rapidité de ces développements ne devrait surprendre personne. La Russie cherche à réduire ses 90 milliards de m3 / an de transit de gaz via l'Ukraine à 10-15 milliards de m3 / an après 2019. Avec Nord Stream 2 sous le feu des décideurs européens, Turk Stream devient clairement une monnaie d'échange essentielle pour la Russie dans le ' grand jeu »du transit du gaz ukrainien.
Lecteurs, j'ai vu un correspondant qualifier mes vues de cyniques réalistes. Permettez-moi de les expliquer brièvement. Je crois aux programmes universels qui offrent des avantages matériels concrets, en particulier à la classe ouvrière. Medicare for All en est le meilleur exemple, mais un collège sans frais de scolarité et une banque des postes relèvent également de cette rubrique. Il en va de même pour la garantie de l'emploi et le jubilé de la dette. De toute évidence, ni les démocrates libéraux ni les républicains conservateurs ne peuvent mener à bien de tels programmes, car les deux sont des saveurs différentes du néolibéralisme (parce que les marchés »). Je ne me soucie pas beaucoup de l'isme »qui offre les avantages, bien que celui qui doit mettre l'humanité commune en premier, par opposition aux marchés. Cela pourrait être un deuxième FDR sauvant le capitalisme, le socialisme démocratique en train de le lâcher et de le coller, ou le communisme le rasant. Je m'en moque bien, tant que les avantages sont accordés. Pour moi, le problème clé - et c'est pourquoi Medicare for All est toujours le premier avec moi - est les dizaines de milliers de décès excessifs dus au désespoir », comme le décrivent l'étude Case-Deaton et d'autres études récentes. Ce nombre énorme de corps fait de Medicare for All, à tout le moins, un impératif moral et stratégique. Et ce niveau de souffrance et de dommages organiques fait des préoccupations de la politique d'identité - même le combat digne pour aider les réfugiés que Bush, Obama et les guerres de Clinton ont créé - des objets brillants et brillants en comparaison. D'où ma frustration à l'égard du flux de nouvelles - actuellement, à mon avis, l'intersection tourbillonnante de deux campagnes distinctes de la doctrine du choc, l'une par l'administration, et l'autre par des libéraux sans pouvoir et leurs alliés dans l'État et dans la presse - un un flux de nouvelles qui m'oblige constamment à me concentrer sur des sujets que je considère comme secondaires par rapport aux décès excessifs. Quel type d'économie politique est-ce qui arrête, voire inverse, l'augmentation de l'espérance de vie des sociétés civilisées? J'espère également que la destruction continue des établissements des deux partis ouvrira la voie à des voix soutenant des programmes similaires à ceux que j'ai énumérés; appelons ces voix la gauche. » La volatilité crée des opportunités, surtout si l'establishment démocrate, qui place les marchés au premier plan et s'oppose à tous ces programmes, n'est pas autorisé à se remettre en selle. Les yeux sur le prix! J'adore le niveau tactique, et j'aime secrètement même la course de chevaux, car j'en parle quotidiennement depuis quatorze ans, mais tout ce que j'écris a cette perspective au fond.

La création d'un parfum est sans aucun doute une quête enchanteresse, une danse des sens qui combine l'art, la recherche scientifique et les sentiments dans un flacon individuel. Ayant eu le privilège de créer un parfum, je peux attester de l'attrait du processus. Il s'agit vraiment d'une expérience pratique captivante qui relève autant de l'expression individuelle que du lancement d'un produit.
Le voyage commence par une compréhension. Dans mon cas, il s'agissait d'un désir de saisir la substance d'un jardin d'été en pleine floraison. Je voulais créer une eau de Cologne qui évoque la chaleur du soleil, le doux bruissement du feuillage et l'arôme enivrant des fleurs. C'est avec cette vision en tête que je me suis lancée dans la création d'une eau de Cologne.
Le processus commence par la sélection des composants, ou "notes". Chaque parfum contient des notes de tête, de cœur et de fond qui, ensemble, forment l'odeur globale du parfum. Les meilleures notes sont celles que l'on sent dès l'application ; elles sont généralement lumineuses et vibrantes. Les notes de cœur, également appelées le cœur du parfum, constituent le corps principal du parfum. Les notes de fond sont les plus importantes et durent le plus longtemps.
Choisir les bonnes notes est à la fois un art et une science. Il faut savoir comment les différents ingrédients interagissent et comment leurs senteurs se développent avec le temps. Mais il faut aussi faire preuve d'intuition et de créativité. J'ai passé beaucoup de temps à expérimenter différentes combinaisons, bien guidée par mon nez et mon instinct. J'ai choisi la bergamote citronnée et la menthe poivrée fraîche pour les notes de tête, afin de capturer la luminosité d'un petit matin d'été. Pour le cœur, j'ai choisi des notes fleuries de rose et de jasmin, ainsi qu'un soupçon de thé vert pour ses vertus apaisantes. Et pour le fond, j'ai préféré l'ambre chaud et le musc pour communiquer la chaleur apaisante d'un après-midi d'été.
Créer un parfum, ce n'est pas seulement mélanger des composants, c'est aussi choisir l'équilibre parfait. L'excès ou l'insuffisance d'un ingrédient peut nuire à l'ensemble de la composition. J'ai dû être patiente, méticuleuse et prête à recommencer lorsqu'une fusion ne fonctionnait pas. Il y a eu des moments de déception, mais aussi des moments de joie pure à 100 % lorsqu'un mélange particulier capturait précisément ce que je cherchais à transmettre.
Une fois la formule mise au point, je suis passée au processus de vieillissement. C'est à ce moment-là que le parfum mûrit et que les différentes informations se fondent les unes dans les autres. Le processus de vieillissement peut durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois, et c'est une période d'anticipation et d'excitation. C'est comme attendre qu'une fleur pousse ; vous savez que quelque chose de beau est en train de se former, mais vous ne pouvez pas l'apercevoir.
Finalement, après des jours d'attente, il était temps d'évaluer l'article final. Appliquer le parfum pour la première fois a été un moment de pure magie. Le parfum s'est déployé sur ma peau, dévoilant chaque note dans sa transformation. Il y a d'abord eu l'éclat lumineux de la bergamote et de la menthe poivrée, suivi du cœur floral de la rose, du jasmin et du thé vert. Puis, au fil de la journée, les notes de fond chaudes d'ambre et de musc sont apparues, ancrant le parfum et lui donnant de la profondeur. C'était tout ce que j'avais créé - l'essence d'un jardin d'été, capturée dans un flacon.
La création d'un parfum est en fait un voyage de découverte. Il s'agit de découvrir le monde des fragrances et de trouver comment les exploiter pour transmettre un certain sentiment ou un certain souvenir. Il faut de la patience, de la créativité et une profonde admiration pour les avantages de la nature. Mais il s'agit avant tout d'une expérience très personnelle. Le parfum que j'ai produit n'est pas seulement un parfum ; c'est le reflet de ce que je suis et de ce que j'aime.
L'ensemble du processus de création d'une eau de Cologne est extraordinaire. C'est un mélange unique de science et d'art, de précision et d'imagination. C'est un voyage qui met à l'épreuve et récompense à parts égales. Et à la fin de tout cela, vous vous retrouvez avec quelque chose de vraiment spécial : un parfum qui vous est propre, un parfum qui raconte une histoire. C'est une expérience que je recommande à tous ceux qui ont envie de parfums et qui souhaitent communiquer d'une manière nouvelle et passionnante.
Il y a quelques jours, le New York Times a publié un article d'opinion de Jerry Lembcke Le mythe du manifestant anti-guerre cracheur. »Lembcke a écrit un livre il y a quelques décennies pour démystifier ce mythe, mais il est toujours aussi fort… plus fort que jamais, en fait. Le trope qu'ils crachent sur nos anciens combattants "est populaire auprès des fanatiques anti-genoux qui soutiennent que les athlètes qui manifestent pendant l'hymne national crachent sur les tombes" de ceux qui sont morts pour défendre le drapeau et la liberté de faire comme vous ' raconté et debout pendant l'hymne national.
J'ai toujours trouvé l'argument et les preuves de Lembcke convaincants, mais je n'aime rien prendre pour acquis. J'ai donc creusé un peu plus. Une partie de cela était en train de fouiller dans une cachette de vieux magazines Amex / Canada que je garde depuis 45 ans environ. Un vétéran du Vietnam nommé Al Reynolds a écrit un compte rendu publié dans le numéro de mai-juin 1973 sur le défilé des vétérans du Vietnam contre la guerre au foyer avec honneur organisé à New York à la fin du mois de mars de la même année.
Pour autant que je sache, il s'agit du seul récit de témoin oculaire publié simultanément sur des vétérans crachés. Les vétérans en question étaient des manifestants anti-guerre et le coupable présumé était un spectateur vraisemblablement patriotique. Le récit de Reynolds, soit dit en passant, est largement corroboré par le dossier du FBI sur le VVAW. Bien qu'il ne mentionne pas le crachement, il fait référence à des railleries et à trois tentatives contrecarrées de spectateurs en colère de franchir des barrières pour attaquer probablement les manifestants.J'ai également cherché dans plusieurs bases de données pour voir si je pouvais trouver d'autres récits contemporains de l'un ou l'autre de ces événement ou autres. Voici où les choses deviennent intrigantes. Le New York Times a publié une critique d'une pièce de Tom Cole, intitulée Medal of Honor Rag, qui faisait référence à un légionnaire américain à Seattle qui attendait à la porte de l'aéroport pour cracher sur le retour des G.I.s parce qu'ils perdaient la guerre. Je soupçonne que ce légionnaire présumé "est en fait une fiction de l'épisode du défilé VVAW Home with Honor". Tous les éléments standard du mythe du crachement sont présents dans la pièce de Cole: l'aéroport, le crachement et les hippies anti-guerre criant des tueurs de bébés »aux militaires qui arrivent. La seule différence est que c'est un patriote pro-guerre »qui crache.
Rambo: Rien n'est fini! Rien! Ce n'était pas ma guerre. Vous m'avez demandé, je ne vous ai pas demandé. Et j'ai fait ce que je devais faire pour gagner. Mais quelqu'un ne nous laisserait pas gagner. Puis je reviens au monde et je vois toutes ces asticots à l'aéroport. Me protester! Cracher! Appelez-moi bébé tueur et toutes sortes de conneries! Qui sont-ils pour me protester? Hein? Qui sont-ils? À moins qu'ils ne soient moi et qu'ils soient là et sachent de quoi ils crient.
Alors voilà, les amis. La fabrication d'un mythe. Une femme plus âgée dans un manteau de fourrure, avec des cheveux soigneusement taquinés, son visage déformé par la rage, crachant sur des vétérans du Vietnam protestant contre la guerre est transformée en légionnaire, avec un visage rouge, attendant à la porte de l'aéroport de cracher sur le retour des IG pour ne pas gagner la guerre et finalement devenir des asticots anti-guerre »pour protester contre le pauvre petit John Rambo qui faisait juste ce qu'il devait faire pour gagner. Alors, où cela nous mène-t-il en octobre 2017? Mon, mon, regardez tous les Rambos en strass!
Depuis l'aube de l'aviation, les avions des services militaires ont joué un rôle essentiel dans la collecte de renseignements et dans l'élaboration de la réflexion tactique pour les fonctions militaires. Au fil des ans, ces aéronefs ont connu des avancées remarquables, modifiant la manière dont les nations recueillent des informations, évaluent les risques et élaborent des stratégies. Dans cet article, nous nous pencherons sur la croissance et le développement fascinants des avions militaires et nous étudierons leur impact profond sur la collecte de renseignements et les processus d'élaboration des choix stratégiques.
Les premiers avions des forces armées ont été principalement utilisés pour la reconnaissance et l'observation aérienne pendant la Première Guerre mondiale. De fragiles biplans, équipés de simples caméras, ont été déployés pour capturer des photographies aériennes des positions ennemies, L-39 Albatros Deauville des mouvements de troupes et des fortifications de protection. Ce nouveau pouvoir de collecte de renseignements visibles par voie aérienne a fourni aux commandants militaires un outil précieux pour évaluer le champ de bataille et élaborer des programmes tactiques.
Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale a été marqué par des progrès considérables dans la technologie de l'aviation militaire. Les avions de reconnaissance, tels que le Spitfire britannique et le P-38 Lightning américain, sont équipés de caméras et de capteurs plus performants, permettant une collecte de renseignements plus précise et plus complète. Ces avions s'aventuraient profondément en territoire ennemi, capturant des informations importantes qui influençaient la prise de décision idéale.
En outre, l'avènement des bombardiers stratégiques, comme le B-17 Flying Castle, a introduit la notion de collecte de renseignements stratégiques. Ces avions pouvaient voler sur de longues distances et transporter des caméras, des systèmes radar et des équipements de surveillance électronique innovants. Ils ont joué un rôle essentiel dans la cartographie des installations ennemies, la découverte des sites industriels et le suivi des mouvements de troupes, fournissant des données inestimables pour la préparation et la concentration stratégiques.
La période de la guerre froide a été marquée par une explosion des avancées technologiques, qui a entraîné des progrès considérables dans les capacités de collecte de renseignements. Les satellites de reconnaissance, par exemple les applications Corona et Keyhole, ont révolutionné le domaine du renseignement stratégique. Ces satellites pouvaient capter des images haute résolution des territoires ennemis, surveiller les installations nucléaires et les mouvements militaires avec une précision et un secret inégalés.
Parallèlement, les avions espions à haute altitude, comme l'U-2 et le SR-71 Blackbird, ont repoussé les limites de la reconnaissance aérienne. Volant à des altitudes extrêmes, ces avions pouvaient collecter des renseignements en temps quasi réel et viser de vastes régions en un seul objectif. Le SR-71 Blackbird, capable d'atteindre des vitesses supérieures à Mach 3, a établi de nouvelles références en matière de vitesse de reconnaissance et de portée opérationnelle, améliorant ainsi les capacités de renseignement des nations.
L'ère moderne a vu l'essor des véhicules aériens sans pilote (UAV), communément appelés drones, qui ont révolutionné l'activité de renseignement. Les UAV, équipés de dispositifs, de caméras et de techniques de communication de pointe, peuvent fonctionner dans des environnements hostiles, surveiller des objectifs pendant des intervalles prolongés et fournir aux commandants des services militaires une compréhension de la situation en temps réel. Ces aéronefs pilotés à distance ont considérablement réduit les risques pour les opérateurs humains tout en élargissant la portée et la productivité des quêtes de collecte d'informations.
En outre, la technologie furtive est apparue comme un changement d'activité dans l'aviation militaire. Les avions furtifs, tels que le F-22 Raptor et le B-2 Spirit, utilisent des matériaux avancés, des caractéristiques de conception et des revêtements absorbant les ondes radar pour réduire leur signature radar. Cette capacité leur permet de pénétrer l'espace aérien de l'adversaire sans être découverts, de recueillir des renseignements cruciaux tout en échappant aux défenses agressives. La technologie furtive a donc révolutionné la collecte des capacités d'apprentissage en permettant une utilisation sans précédent de lieux sensibles et une planification plus efficace.
Le développement d'avions militaires pour la collecte de renseignements a eu un impact important sur la pensée tactique. Il a transformé la manière dont les planificateurs militaires évaluent les dangers, identifient les objectifs et produisent des idées opérationnelles. En fournissant des informations en temps réel et à haute résolution, les avions militaires ont permis de prendre des décisions plus précises et plus opportunes, améliorant ainsi l'utilité et l'efficacité des opérations des forces armées.
En outre, la capacité de recueillir des renseignements depuis les airs a permis aux nations du monde entier de mieux comprendre leurs adversaires, d'anticiper leurs intentions et d'élaborer des contre-mesures en conséquence. Les informations tirées de la reconnaissance aérienne ont inspiré la formulation des doctrines de l'armée, l'allocation des ressources et l'élaboration de plans stratégiques à long terme.
Depuis les premiers vols de reconnaissance de la Première Guerre mondiale jusqu'aux véhicules aériens sans pilote innovants et aux avions furtifs d'aujourd'hui, les avions des services militaires n'ont cessé d'évoluer pour réinventer la collecte de renseignements et former la pensée stratégique. Ces avions ont fourni aux pays un accès remarquable à des informations essentielles, leur permettant d'évaluer les menaces, de mener des opérations stratégiques et de faire des choix éclairés. Alors que la technologie moderne continue de s'améliorer, le développement des avions de l'armée jouera sans aucun doute un rôle crucial dans l'optimisation de la fonctionnalité du renseignement et dans l'élaboration de la réflexion stratégique à l'avenir.
Publié le 12/07/2023 à 16:31 par ctrlaltdel
Le changement climatique est l'un des plus grands défis auxquels l'humanité est confrontée aujourd'hui. Les émissions de dioxyde de carbone (CO2) provenant des activités humaines sont la principale cause de ce problème. Cependant, la nature offre une solution naturelle à ce défi : l'absorption du CO2 par les écosystèmes, en particulier par les arbres. Ce papier technique explore l'importance de l'absorption du CO2 par la nature et met en évidence la nécessité de promouvoir la reforestation pour atténuer le changement climatique.
1. L'absorption du CO2 par la nature :
La nature possède la capacité naturelle d'absorber le CO2 de l'atmosphère grâce à un processus appelé photosynthèse. Les plantes, en particulier les arbres, captent le CO2 lors de la photosynthèse et le transforment en oxygène, tout en stockant le carbone dans leur biomasse. Cette capacité d'absorption du CO2 par la nature joue un rôle crucial dans le maintien de l'équilibre climatique.
2. Les avantages de la reforestation :
La reforestation, qui consiste à planter de nouveaux arbres ou à restaurer des forêts dégradées, présente de nombreux avantages dans la lutte contre le changement climatique :
a. Capture et stockage du CO2 : Les arbres absorbent activement le CO2 de l'atmosphère lors de la photosynthèse et stockent le carbone dans leur bois et leur biomasse. La reforestation permet d'accroître la capacité d'absorption du CO2 de la nature, ce qui contribue à réduire les concentrations atmosphériques de ce gaz à effet de serre.
b. Conservation de la biodiversité : Les forêts abritent une diversité d'espèces végétales et animales, contribuant ainsi à préserver la biodiversité. La reforestation aide à restaurer les habitats naturels et à protéger les écosystèmes fragiles, favorisant ainsi la survie des espèces et la préservation de la diversité biologique.
c. Protection des sols et de l'eau : Les arbres jouent un rôle essentiel dans la préservation des sols en les protégeant contre l'érosion et en favorisant la filtration de l'eau. La reforestation contribue à maintenir la qualité des sols et à protéger les ressources en eau, ce qui est crucial pour la durabilité des écosystèmes et la vie humaine.
d. Atténuation des effets du changement climatique : Les forêts agissent comme des puits de carbone, absorbant le CO2 de l'atmosphère et contribuant ainsi à atténuer les effets du changement climatique. La reforestation peut aider à réduire les émissions de CO2, à réguler les températures régionales et à prévenir les phénomènes météorologiques extrêmes.
3. Les défis de la reforestation :
La reforestation présente également des défis à relever pour maximiser son efficacité :
a. Choix des essences d'arbres : Il est essentiel de choisir des essences d'arbres adaptées à chaque écosystème pour favoriser leur croissance et leur survie à long terme. Les espèces d'arbres locales et indigènes sont souvent préférées car elles sont mieux adaptées aux conditions environnementales spécifiques.
b. Gestion durable des forêts : Une gestion appropriée des forêts est nécessaire pour assurer leur pérennité et leur capacité à absorber le CO2. Cela implique une planification adéquate, des pratiques sylvicoles responsables et une surveillance continue pour éviter la déforestation et la dégradation des forêts nouvellement établies.
c. Sensibilisation et participation communautaire : La sensibilisation et la participation des communautés locales sont essentielles pour garantir le succès de la reforestation. Impliquer les populations locales dans les initiatives de reboisement peut favoriser l'appropriation et la durabilité à long terme des projets.
Conclusion :
L'absorption du CO2 par la nature, en particulier par les arbres, est une solution naturelle essentielle pour atténuer le changement climatique. La reforestation joue un rôle crucial dans ce processus, offrant des avantages multiples, de la capture du CO2 à la préservation de la biodiversité. Cependant, pour maximiser les avantages de la reforestation, il est nécessaire de faire des choix judicieux d'essences d'arbres, de mettre en œuvre une gestion durable des forêts et d'impliquer les communautés locales. En promouvant et en soutenant la reforestation, nous pouvons contribuer à la
Mis à part une brève expérience avec des prototypes propulsés par des fusées et une courte période de SST, le désir de l'homme d'aller vite n'est pas plus évident dans le monde des jets rapides, les forces aériennes du monde entier obtenant tous les meilleurs jouets à expérimenter.
Comme à l'époque du Concorde et de son homologue russe, le SST, les jets militaires sont, dans l'ensemble, de plus en plus lents. Une fois que la vélocité a assuré une meilleure chance de survie, les couleurs noires plates et les formes furtives bizarres sont la tendance actuelle. Cependant, si vous voulez vraiment visiter rapidement, retournez quelques années, les chasseurs à réaction les plus rapides arrivant à maturité pendant la bataille froide, l'OTAN et les puissances soviétiques ont investi des milliards en RAndD pour votre machine de vélocité ultime. Le Foxbat règne toujours en maître, suivi de près par plusieurs autres modèles de Mig. Si la suprématie aérienne ne tenait qu'à la vitesse, Lockheed Martin-Yf 22 nous parlerions tous d'un autre vocabulaire.
L'ère des jets rapides est vraiment terminée, les forces atmosphériques se tournent de plus en plus vers les drones ou les drones sans pilote, ce qui élimine l'élément humain, du moins en ce qui concerne les risques.
Le premier avion à voyager à des vitesses supersoniques était un avion de recherche Bell By-1 propulsé par une fusée et piloté par le major Charles E. Yeager de la pression aérienne américaine le 14 octobre 1947. Après avoir été largué du ventre du Boeing B-29, le XS-1 a franchi le mur du son (local) à 1 066 km (662 miles) à l'heure et a atteint une vitesse de pointe de 1 126 km (700 miles) à l'heure, soit Mach 1,06. Par la suite, de nombreux avions des services militaires capables d'effectuer des vols supersoniques de ligne ont été construits, bien que leur vitesse soit généralement limitée à Mach 2,5 en raison de problèmes liés à l'échauffement par frottement de la peau de l'avion.
Le premier transport supersonique (SST) était le Tupolev Tu-144 soviétique, qui a effectué son premier vol supersonique en juin 1969 et a commencé à transporter du courrier entre Moscou et Alma-Ata (Almaty) en 1975. Le premier avion commercial supersonique de transport de passagers, le Concorde, a été construit conjointement par les constructeurs d'avions britanniques et français ; il a effectué sa première traversée transatlantique le 26 septembre 1973 et est entré en service normal en 1976. English Airways et Air France ont cessé d'utiliser le Concorde en 2003. Le Concorde avait une vitesse de croisière optimale de 2 179 km (1 354 miles) par heure, soit Mach 2,04.
Le statoréacteur constitue un moyen de propulsion facile et efficace pour les avions à des vitesses de vol supersoniques relativement élevées. Il est cependant très inefficace aux vitesses de vol transsoniques et totalement inadéquat aux vitesses subsoniques. Le turboréacteur continue d'être développé pour pallier cette insuffisance. Dans ce système (illustré à la figure 8), une turbosoufflante est intégrée à l'entrée d'un statoréacteur pour charger ce dernier d'un flux d'air pressurisé à la vitesse de vol subsonique des compagnies aériennes, où la pression du statoréacteur est inadéquate pour un fonctionnement efficace du statoréacteur. En vol supersonique, les pales de la soufflante, si elles sont à pas variable, peuvent être mises en drapeau de sorte qu'elles n'interfèrent généralement pas avec l'écoulement de l'atmosphère du statoréacteur. Une entrée séparée du moteur central qui entraîne la soufflante peut être fermée afin de ne pas exposer la turbomachine à l'environnement hostile de l'air dynamique à haute température.
Une autre variante du turboréacteur se passe complètement de l'entrée du moteur central et du compresseur primaire. À la place, l'avion transporte un réservoir de comburant, comme de l'oxygène liquide. L'oxydant est fourni dans la chambre de combustion centrale avec le carburant pour soutenir la procédure de combustion, qui génère le flux d'essence chaude pour alimenter la turbine qui entraîne le ventilateur. Pendant le vol supersonique, l'amant peut être mis en drapeau, et un surplus de carburant peut être introduit dans la chambre de combustion primaire. L'énergie non brûlée traverse la turbine de la soufflante et subit une combustion dans le statoréacteur lorsqu'elle se mélange à l'air frais entrant par le flux de dérivation de l'amorceur.
Quand l'éthique a-t-elle commencé et comment cela s'est-il produit ? Si l'on a dans son esprit une éthique appropriée - c'est-à-dire que la recherche systématique des éléments est moralement juste et incorrecte - il est vraiment clair que les valeurs n'ont pu naître que lorsque les êtres humains ont commencé à réfléchir sur la meilleure façon de rester. Cette phase réfractive est apparue longtemps après que les sociétés humaines expérimentées aient créé un certain type de moralité, généralement sous la forme de spécifications coutumières de bonne et de mauvaise conduite. Le processus de réflexion avait tendance à se produire à partir de telles coutumes, même lorsqu'en fin de compte il les a peut-être découvertes insuffisantes. Ainsi, l'éthique a commencé avec l'introduction des premiers codes éthiques. Pratiquement toute société d'êtres humains a un certain type d'idée fausse pour décrire l'origine de la moralité. Au Louvre à Paris, il existe une colonne babylonienne sombre avec un relief montrant le dieu du soleil Shamash présentant le code du programme de réglementation à Hammurabi (mort vers 1750 avant notre ère), appelé Code d'Hammourabi. Les récits de la Sainte Bible hébraïque (Ancien Testament) de la fourniture par Dieu des 10 commandements à Moïse (prospérité du 14e au 13e siècle avant notre ère) sur le mont Sinaï peut être considéré comme un autre exemple. Dans la conversation Protagoras de Platon (428/427-348/347 avant notre ère), il y a un compte rendu mythique des méthodes que Zeus avait eu pitié des malheureux, qui n'étaient en fait pas de taille face aux autres bêtes. Pour compenser ces lacunes, Zeus a donné aux gens une perception éthique ainsi que la capacité de législation et de justice, afin qu'ils puissent résider dans des quartiers plus vastes et travailler les uns avec les autres. Que la morale soit investie de tout le secret et de la puissance de la source divine n'est pas étonnant. Rien d'autre ne pourrait fournir des raisons aussi fortes pour adopter la loi éthique. En attribuant une origine divine à la morale, le sacerdoce en devient l'interprète et le gardien et s'assure ainsi par lui-même un pouvoir auquel il ne se départira pas volontiers. Ce lien entre la morale et les croyances religieuses est si solidement forgé qu'il est pourtant parfois affirmé qu'il ne peut y avoir de morale sans religion. Selon ce regard, les valeurs ne seront pas un domaine d'étude indépendant mais plutôt une division de la théologie (voir théologie morale). Il y a quelques problèmes, déjà reconnus à Platon, avec le regard que la morale s'est développée avec un pouvoir divin. Dans son dialogue Euthyphron, Platon a considéré la recommandation selon laquelle c'est l'approbation divine qui rend un mouvement grand. Platon remarqua que, s'il en était ainsi, on ne pourrait affirmer que les dieux acceptent ces mesures parce qu'elles sont bonnes. Pourquoi alors les accepteront-ils ? Leur approbation est-elle entièrement arbitraire ? Platon considérait cela comme impossible et soutenait donc qu'il devait y avoir certaines spécifications du mal ou du bien qui soient impartiales par rapport aux goûts et aux aversions des dieux. Les philosophes modernes ont généralement accepté la discussion de Platon, car l'option implique que lorsque, par exemple, les dieux expérimentés approuvaient la torture des enfants et désapprouvaient également l'aide à leurs voisins, alors le tourment aurait pu être grand et le voisinage terrible. Un théiste contemporain (voir le théisme) peut dire que, puisque le seigneur est grand, Dieu ne pourrait pas accepter de torturer des enfants ni désapprouver d'aider les voisins. En disant cela, cependant, le théiste aurait pu admettre tacitement qu'il y a un régulier de la bonté qui est impartial de Dieu. Sans un régulier indépendant, il serait vain de dire que le seigneur est bon ; cela pourrait impliquer seulement que Dieu est approuvé par le seigneur. Il semble par conséquent que, même pour les individus qui ont confiance en la présence de Dieu, il est impossible de fournir un compte rendu adéquat de l'origine de la morale lorsqu'il s'agit du développement divin. Un autre compte est nécessaire. Il y a plus de contacts possibles entre les croyances religieuses et la morale. Il a vraiment été dit que, même si les normes de l'excellent et du méchant existent séparément du seigneur ou même des dieux, la révélation divine est le seul moyen fiable de découvrir quelles sont ces spécifications. Un problème évident avec ce regard est que les personnes qui reçoivent des révélations divines, ou qui pensent à elles-mêmes qualifiées pour les traduire, ne sont pas toujours d'accord sur ce qui est bien et ce qui est exactement mal. Sans exigence approuvée pour l'authenticité d'une révélation ou d'une compréhension, les individus ne sont pas plus heureux, en ce qui concerne la conclusion d'un accord moral, qu'ils ne le seront s'ils décidaient eux-mêmes du bien et du mal, sans l'aide de religieux. croyances.